POESIE

y a pas mieux pour dire que Dieu est partout ... bravo lougris ... mais parler à sa place !!! quel audace!!!

ben...........dsl !!!
une envie !! lol !!
le ferai plus !!!!
dsl....!!!

lougris ... là où tu es tu dis qu'il fait beau.. mais ici ...

Pendant qu’il fait gris
Je me sens comme rabougri
Rempli de nostalgie
Je pense à mon pays
Et je bois mon verre

Pendant qu’il est dans sa cachette
Ce soleil en disette
J’allume ma cigarette
Je pense à La Goulette
Et je lève mon verre

Pendant tout ce temps là
Où je me sens vraiment las
Où le temps en fracas
Me brise et me noie
Dans l’alcool de mon verre

Je souris dans un coin
De ma bouche en chagrin
Je suis trop loin des miens
Vivement que je prenne le chemin
Pour les joindre boire un verre !


Hector (sans l'aide de personne comme les autres fois) :p
_____

au fait Dolce Vita tu me rend la vie difficile pour une audace que j'avais prise pour mettre un slip alors que d'autres se prennent pour Dieu ... non mais

Hector,

une ellipse de tes lips sur ton slip ?
n'est ce pas la une étrange anagramme ?
Dolcevita sans doute, qui sans raison eclipse,
d'un doigt pointé la verdeur de tes gammes...

résiste ami comme une farouche armée,
montre à la douce vie qui se dit amie
que jamais malgré le nombre des années,
tu ne feras prendre, à ton slip, le plis !!!!!

......

PTDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

Dormez, petites choses du matin,
Réveillées trop tôt, de bruits sourds.
Mi-clos, les yeux se frottent dans les mains
Fatigués, émerveillés au creux du jour.
Soleil fragile, vent docile, jour de printemps.
Lassive, elle se relève, regarde le monde
Si tout est encore là, si rien n'a changé.
Dormez petites choses que la lumière innonde.

D'un air de musique à peine murmuré.

La Fête de l'Alcool

On est le jour le plus long de l’été, dans la ville il y a une fête,
Des notes de partout jouées, La musique est à l’entête!
Des magasins beaucoup visités, de l’alcool, selon le goût, on achète..

Le soir arrive la ville est bourré, des gens marchent, d’autres s’arrêtent
Beaucoup de bouteilles sont achevées, l’alcool prend son chemin vers la tête
Des jeunes qui sont déjà bourrés, sur les bouts des trottoirs ils se jettent..

Des jeunes tombés dans un coma à force d’abuser, et oui c’était vraiment très bête…
La nuit est là, oust! on a fermé! le calme reprend la place de cette tempête

Partout dans les rues,
par terre des gobelets,
des poubelles pleines,
les bouteilles cassées,
des pas qui trainent,
des gens dégoutés,
toute une scène,
d’une ville par la liqueur assiégée!!!
La fête est devenue une peine?!!

La fête de la musique camouflée aurait dû s’appeler la fête de l’alcool, certes !

S’égayer avec les mots
Tout en les caressant
Sur un bout de papier blanc
Avec une bille d’un stylo

Sur un bout de papier blanc
Qui rappelle une plage vierge
Comme des grains qui se divergent
Ils s’y installent en se palpant

Comme des grains qui se divergent
Par leurs aspects qui se diffèrent
Les mots se bousculent dans l’air
En imitant les flacons de la neige

Les mots se bousculent dans l’air
Tout au tour de cette feuille
Je les vois franchir le seuil
De mon portail entre ouvert

Je les vois franchir le seuil
De ma grande porte fenêtre
Et je vois d’autres mots naître
Du ventre de ma feuille

Et je vois d’autres mots naître
Et se déchainer comme des flots
S’égayer avec les mots
Quel grand plaisir pour les êtres

S
U
P
E
R
B
E

VOYAGE

Ainsi j’arrime mes mots,
Dans la cale de mon stylo,
Préparant le doux voyage,
De ma plume sur la page.

L’ancre au fond de l’eau,
Dilue le sens des mots,
Et pose en aquarelle,
Mes rimes comme dentelles.

Parfois le vent est là,
La voile vélin tire le mat,
L’esprit joyeux s’enfrémit,
Les pleins enfin se délient.

Mais le plus souvent,
ne souffle aucun vent,
La plume reste au port,
De son ventre rien ne sort.

Le poète se croit mort,
Pour lui plus de réconfort,
Il pose, marie sur le canson,
Une larme de frustration.

Une goutte saline en demi-lune,
Entre la trame et l’ample plume,
Se mêle à l’encre pour écrire,
Des mots d’amour en devenir.

L’homme a l’âme émerveillée,
Voit alors sa page enluminée,
S’envoler tout doucement,
Vers les cœurs de mille amants.


Didier.

Et tu t'envoles vers nos cœurs à nous tous Didier ... Bravo pour ce petit poème!

Peur du noir, peur du soir,
Evidence de faux espoirs
Je crois dans les soupirs
Qui savent anéantir les sourires.
J'ai cru une seconde que tu viendrais
Que le train ne repartirais pas sans toi
Mais tu n'étais pas là, je pensais
Que tu aurais pensé à moi.

J'attends ici depuis des heures
En sachant que tu ne viendras plus.

Dis moi pourquoi je crois encore
Que tu aurais pu te souvenir de moi
Mon coeur sera déjà mort,
Avant même que tu ne l'effleure du bout des doigts.

Mes rimes deviennent bancales et raides
Lèvres violacées d'un froid d'hiver précoce
Les mains qui pleurent, les yeux qui saignent
Je te laisse, j'abandonne mes forces...

Tu as joué avec moi, joué de tes mots
Pour me dessiner un monde plus beau
Et je suis tombée, tombée de tout là-haut,
Quand j'ai compris que ce décor était faux.

le decor est certes faux,
mais le coeur lui est vrai !!!!
Et tu as mis le tien dans ces rimes !!
très belles...
bisou

didier qui passe en coup de vent, les doigts pleins de platre et de crépi !! lol

Bonjour tout le monde. Petit, ce qui semble être, un poème:

Mon coeur chante le rossignol
le soleil caché traverse les nuages
de sa bonté naît mon envie
celle de t'embrasser
au petit matin, sur un parvis d'église
une main aux seins, pour choquer
ces bénitiers du dimanche
le prêtre sort et nous injure
"chante le rossignol avec nous!"
il se touche les parties et jure!
Dieu pas content
en trottinette descend
et dérape,... divinement
il nous punie
chez Hadès
où, à l'infini
on se touche nos fesses!