POESIE

lougris, tu as épuisé mon stock de mots de félicitation


un sourire et un bravo

+1 pour moi aussi
hihihih

Je viens de la côte sud de la méditerranée
Je viens de Carthage la ville bien aimée
La ville de ces souks et de ces hammams
Mêlés aux spectacles des cracheurs de flammes

Carthage veut dire la ville nouvelle
Dans la très vieille langue punique
La ville au soleil qui ensorcelle
La ville au grand charme magique

Je viens d'un pays maintenant musulman
La croix y était plantée avant le croissant
Je suis issu de cette culture diversifiée
D'un conte des mille et une nuits enchantées

Je viens sur mon tapis volant
Tissé par les mains de Kairouan
Je viens avec toutes mes manières
Que j'ai appris dans mon pays cher


Hector

je ne sais pas si tu dors toujours dans ta lampe, mais laisse moi te dire que tu es un génie de la plume !!
bravo très beau texte !
bonne nuit étoilée pour toi,
je file sous ma couette qui n'est pas volante, mais qui est une couette à rêves !!
lol !!
amicalement,

J'ai cru remarquer que certaines et certains d'entre vous ont une tendresse particulière pour les
vampires de tout poils...
Alors à l'heure ou ces derniers sont partis pour la chasse,
voici, juste pour vous, un court poème....

REPAS



Dans la ruelle humide et sombre,
Un cri….

Le soupir d’un corps qui s’affaisse,
Sans vie.

Pourtant personne parmi les ombres,
Ou bien si…?

A son cou deux blêmes trous,
Sang fuit.

Lèvres vermeils, posthume caresse,
Sourit.

Le vampire soudain s’ébroue,
Assouvi…

j'ai rien d'autre à faire ...
j'applaudis !

(histoire de garder la rime)

Merci beaucoup,
très jolie.

Je suis revenu encore à cette plage
Visiter l'endroit où on se mettait
Face à la mer dans ce beau rivage
Que nous avons baptisé
Par nos caresses sur nos visages
Et par nos aussi doux baisers

Je suis revenu, seulement, le paysage
Sans toi, il est comme déserté
Plus de mouettes dans cette faune sauvage
Plus de tes bras qui m'enlaçaient
Je suis revenu seul mon bel ange
Avec mon amour à tout jamais

Je suis là je crie ton nom en rage
Même l'écho ne peut te ramener
Ton absence a fait son ménage
Dans mon cœur totalement brisé
Je n'ai plus que de vagues images
Et des souvenirs rescapés ...

..............l'amour.............
très beau !!
bonne soirée à toi

j'etais, je suis et je serai toujours sous le charme

merci pour ton gentil com'

voici un écrit de ce matin,
Je l'ai également mis sur le blog, une fois n'est pas coutume...
Juste pour le partager avec le plus de gens possible...
bonne journée et merci d'Etre....

Je suis née d'un ciel de faience,
Soufflée d'un brouillard trop froid.
Trempée de rosée, d'évidences,
Dans la solitude et les pourquoi.
Je suis tombée d'un nuage glacé,
Malade d'avoit tant voyagé,
Abandonnée au creux de la vie,
Sans savoir, sans comprendre, et si ?

Je suis née d'histoires sans paroles,
Je m'envole, décolle, dégringole,
Balayée par un vent éventé,
Ecrasée par le monde essouflé.
Dans les heures sombres du soir
Un peu trop tôt, souvent trop tard,
Dans les couleurs vives du noir,
Jeux de rôles, et de hasards.

Je suis née de murmures chuchotés
D'éclats de bruits, de chansons fredonnées
Un soir d'hiver, un jour d'été ?
Bruissements d'air ébouriffés.
A la vie j'ai du abandonner
La science pour la défaillance,
L'exigeance pour le silence,
La raison pour la folie attristée.

Pinceaux dans les cheveux, noir au coin des yeux,
Vivre seule, vivre à deux, être humain, être heureux...
L'herbe est froide, l'air effraie,
Je suis malade, j'étais...

..............SUBLIME...............
Merci.

oui vraiment très beau lywellyne

Le silence m'a dit
coupe toi de tes amis.
Le soleil m'a prédit
tu brûleras ta vie

Le vent m'a murmuré
A quoi bon avancer.
L'orage m'a grondé
Tu l'as bien mérité.

Non ! ais-je crié
Qui êtes vous pour me juger ?
Je continuerai d'avancer
malgrè vos croches pieds.

La lune m'a alors enveloppée
de sa douce lumière
et à mon areille a sussuré
de toi, ma fille, je suis fière.

bon après un premier post qui n'a pas marché,
en voici un second....
Tout d'abord bravo sly, très beau !! vraiment !!!

Et donc pour toi, suite à ton com' sur bloguez, je met "Souffrances" sur AEP.....

SOUFFRANCES


Bleu, bleu, bleu…
Mon corps tordu en bleu se peint.
Sang rependu devient carmin.
Mes enfants pleurent loin, si loin,
Un œil fermé je n’y vois rien.

Bleu, bleu, bleu…
Des ombres s’agitent autour, des voix,
Pourquoi sont ils venus chez moi ?
Fermez la porte pitié, j’ai froid !
Je veux parler mais ne peux pas.

Bleu, bleu, bleu…
Sourde douleur qui va qui vient,
J’ai suppliée, tenté en vain,
D’éviter ses pieds, ses poings,
Mais la haine n’a pas de frein.

Bleu, bleu, bleu…
L’amour est bleu quand il s’égare,
Dans la lueur des gyrophares,
Quand l’homme aimé devient barbare,
Reste la peur en cauchemars.

Bleu, bleu, bleu…
Me voila nue, fleur biscornue,
Une dernière fois toute revêtue,
Triste costume, trop méconnu,
Celui trop cru des femmes battues.

Bleu, bleu, bleu…
Vivre, survivre est fastidieux,
Le mal infect et injurieux,
Quitte mon corps si disgracieux.
Le bleu s’éteint, le blanc enfin…

Didier.

merci, je l'aime beaucoup celui là

bravo à vous tous ...

bon c'est un écrit qui s'est fait lui même d'un seul coup sans règles comme ça brut on va dire qu'il s'est imposé et qu'il a pris forme sans pour autant que je m'y mette...

Slamer

Poème
Sème
Énième

Je t’aime…


Slamer

Ecrire
Plaisir
Délire

Je te désire…


Slamer

Slice
Slow
Slalom

Je t’enlève ton Slip!!


Slamer

Nus
Mordus
Fondus

Amour défendu…


Slamer

Solitude
Amplitude
Inquiétude

Sans toi c’est rude…


Slamer

Blâme
Ame
Condamne

Je m’enflamme… Slam

Comme un félin il se jeta
Sur son clavier et il tapa
Un poème dont il décida
Que ça rime comme il veut que ça soit !

Le poète a voulu dérober
Des mots comme flambés
Il s’est donc embourbé
Dans cette affaire de l’alphabet

Sauf que l’affaire s’amorçait
Car le poète s’efforçait
A vraiment se lancer
Dans ce chemin au verglacé

Le poème donc abordé
Le poète continua à broder
Des mots peu accommodés
Le poète s’est évadé !

Sans pour autant être anxieux
Le poète, ses mains dans ses cheveux
Regarda son écran lumineux
Et continua son chemin radieux

En se comportant comme un chef
Qui se sert bien de son astronef
Il mit des lettres en relief
Pour un poème peu bref

Ne voilà t il pas engagé
A ce que ses mots soient arrangés
Il continua à forger
Ses lettres protégées

C’est avec ce panache
Et ses sentiments qui attachent
Qu’il s’est mis à cette tâche
En maniant sa cravache

Par ce long après-midi
Le voilà donc englouti
Par cet endroit conquis
Son seul et unique abri

Le suspense qui surgit
Le poète qui ne réagit
Son calme l’assagit
Et sa plume resurgit

En sirotant son Soho coca
Il mit un fond d’harmonica
Pour mélanger un goût d’arabica
A tous ces mots qu’il piqua

Il puise dans un arc-en-ciel
D’autres mots émotionnels
Pour que le plaisir charnel
Se confond avec le spirituel

Les paroles dans son harem
En musique de requiem
Lui glissent des "je t’aime"
Et lui, il dit idem !

Il change de scène en scène
Emerveillé par des phénomènes
Les mots dans une arène ?
Se battent comme des indigènes ?!

Le poète comme un oiseau
Survole les pays des mots
Qui ont sur chaque drapeau
Une lettre écrite en gros

Il continue à attraper
Sans réflexions anticipées
D’autres mots en petites lampées
Le poète s’en est enveloppé

Toujours pas convaincu
Avec une âme d’invaincu
Avec ce plaisir vécu
Avec tout son survécu

Le poète se lance dans les airs
Profitant de toute l’atmosphère
Il chante il écrit et gère
Le poète est un visionnaire

Dans ce monde d’allégresse
Où l’insensé se frotte à la sagesse
Où les idées toutes en finesse
S’illuminent sans cesse

Le poète s’y trouve enchanté
Il tord, il bouscule et fait agiter
Ces fines idées abritées
Cachées dans nos esprits affectés

Il les manipules comme un têtu
Les déshabille et les revêtu
Pour qu’elles finissent lues
Visibles sans qu’elles ne soient absolues

Encore des mots prélevés
Pour rêver encore et encore rêver
Pour encore et encore s’élever
Dans les ciels les plus élevés

W ? Le poème va s’achever ?
Il aimerait le laisser inachevé
Pour rester dans cette cuvé
Il se dit : je vais récidiver…

Il regarde encore les suffixes
Il regarde aussi les préfixes
Sans que ses yeux ne se fixent
Sans même rater les affixes

Et de la musique country
Dans les morceaux d’Eagle Eye Cherry
Transporte le poète comme un baby
Emerveillé dans sa nursery

Comme un pauvre, une disette
En pénurie pour cette lettre Z
Il pensa à la première fois il a écrit Z
En imitant Zorro signant ses Z

très bel exercice fort bien réussit je dois dire. Bravo

sly faut pas trop rever j ai du l aider d ailleur suis sa muse

bon par contre pour le premier je n aime pas slip voila :p

mdr n'iiiiiiiiiiiiiiiiiiiimporte quoi!!!

Bonjour à vous toutes et tous !

Journée magnifique par chez moi !!

Me donne des envies de grandeur alors.........

voila!! lol !!!


bise.

JE SUIS

Je suis le papillon
Juste après l’éclosion.
Je suis la fleur
A la douce senteur.

Je suis le Lièvre
Dans le genièvre.
Je suis chevreuil
A la robe d’orgueil.

Je suis le lion,
Ou bien fourmi lion,
Je suis un tigre,
Un oiseau qui migre.

Je suis Lamantin,
Poisson ou lémurien,
Je suis l’Arbre,
Je suis l’homme qui palabre.

Je suis le feu, la glace,
Les landes et l’espace,
Le vide et le plein,
Fatalité ou bien Destin.

Je suis l’Unique, l’Un,
Je vous tiens dans mes mains.
Je suis un rêve en mieux
Vous chantez mon nom : DIEU

rien que ça !!! lol

jolie poème tout de même