Poème

Admin Messages : 86 Date d'inscription : 27/02/2008 Age : 48

Pour un premier essai à plusieurs mains, je vais lancer l'écriture d'un poème puisqu'il semble que cet un genre que nous apprécions tous.
Le but est simple, je vais démarrer le poème et ceux qui veulent le continuer posterons en suivant en réecrivant le début afin que cela soit plus compréhensible.
Je pense qu'il serait préférable que chacun d'entre nous n'écrive qu'un seul vers à la fois afin que tout le monde puisse y participer.
Celui qui pense avoir terminé le poème devra le signifier afin qu'on ne le continue pas indéfiniment.

Au commencement, il y avait

Messages : 59 Date d'inscription : 23/05/2008 Age : 57 Localisation : ardeche

au commencement, il y avait

la lumière sur tes cheveux dorés

bonne idée je joue !! svp !! je joue !!!

lol

lol.... cheers

au commencement, il y avait

la lumière sur tes cheveux dorés,

Le vent soufflant dans les blés,
Cool

Messages : 15 Date d'inscription : 05/06/2008 Age : 53 Localisation : Nord

au commencement, il y avait

la lumière sur tes cheveux dorés,

Le vent soufflant dans les blés,

et carresant ma peau hâlée

Au commencement, il y avait

La lumière sur tes cheveux dorés,

Le vent soufflant dans les blés,

Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,

Messages : 24 Date d'inscription : 26/05/2008 Age : 31 Localisation : Bourges

Au commencement, il y avait

La lumière sur tes cheveux dorés,

Le vent soufflant dans les blés,

Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,

La lueur de tes yeux était si profonde

Messages : 15 Date d'inscription : 05/06/2008 Age : 53 Localisation : Nord

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.
Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche si voluptueuse

Messages : 80 Date d'inscription : 26/05/2008 Age : 50 Localisation : Rouen

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.
Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche si voluptueuse
était vermeille entièrement pulpeuses

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,

Basketball

Admin Messages : 86 Date d'inscription : 27/02/2008 Age : 48

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.

Messages : 80 Date d'inscription : 26/05/2008 Age : 50 Localisation : Rouen

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

clown

Messages : 80 Date d'inscription : 26/05/2008 Age : 50 Localisation : Rouen

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,

Messages : 80 Date d'inscription : 26/05/2008 Age : 50 Localisation : Rouen

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

afro

Messages : 80 Date d'inscription : 26/05/2008 Age : 50 Localisation : Rouen

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

Nous devenions séparés par le monde

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

Nous devenions séparés par le monde
Comme un drame, une déchirure profonde,

Shocked

Admin Messages : 86 Date d'inscription : 27/02/2008 Age : 48

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

Nous devenions séparés par le monde
Comme un drame, une déchirure profonde,
Et c'est en une fraction de seconde,

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

Nous devenions séparés par le monde
Comme un drame, une déchirure profonde,
Et c'est en une fraction de seconde,
Que vint ce quelque chose d'immonde.....

Messages : 24 Date d'inscription : 26/05/2008 Age : 31 Localisation : Bourges

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

Nous devenions séparés par le monde
Comme un drame, une déchirure profonde,
Et c'est en une fraction de seconde,
Que vint ce quelque chose d'immonde.....

Nous savions, hélas, ce que cela représentait

Messages : 59 Date d'inscription : 23/05/2008 Age : 57 Localisation : ardeche

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

Nous devenions séparés par le monde
Comme un drame, une déchirure profonde,
Et c'est en une fraction de seconde,
Que vint ce quelque chose d'immonde.....

Nous savions, hélas, ce que cela représentait
nos deux corps déchirés par ce manque de l autre

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

Nous devenions séparés par le monde
Comme un drame, une déchirure profonde,
Et c'est en une fraction de seconde,
Que vint ce quelque chose d'immonde.....

Nous savions, hélas, ce que cela représentait
nos deux corps déchirés par ce manque de l autre
Et nos âmes à jamais égarés

Au commencement, il y avait
La lumière sur tes cheveux dorés,
Le vent soufflant dans les blés,
Et caressant ma peau hâlée.

Nous étions seuls au monde,
La lueur de tes yeux était si profonde
et ta bouche, si voluptueuse,
était vermeille entièrement pulpeuses.

A pleines dents tu as croqué,
Le fruit défendu dans le passé.
Nos deux corps se sont enflammés,
En incendies de volupté.

Et puis après il y a eu,
Ce vide inconnu,
Ton absence imprévue,
Et la lumière crue.

Nous devenions séparés par le monde
Comme un drame, une déchirure profonde,
Et c'est en une fraction de seconde,
Que vint ce quelque chose d'immonde.....

Nous savions, hélas, ce que cela représentait
nos deux corps déchirés par ce manque de l autre
Et nos âmes à jamais égarés
Se perdaient dans notre immensité